samedi 26 novembre 2011

Poison US

Le poison mondial c'est bien le modèle américain.
Plus ça va plus on découvre, grâce notamment aux journalistes d'investigation, toutes les magouilles de dirigeants et trusts américains :

- Monsanto et ses stratégies pour dominer les cultures du monde entier en imposant ses semences (y compris aux pays pauvres) les rendant totalement dépendants.
-  Mains-mises sur les industries alimentaires, pharmaceutiques et pétrolières.
- Ses armées secrètes qui ont envahi le monde, et notamment l'Europe, pendant des décennies.
Les Reagan, Bush et leurs copains qui se sont succédés afin de conserver leurs privilèges financiers non seulement en faveur de leurs oligarchies mais au niveau de l'amérique toute entière.
En imposant leurs modèles au monde entier, cela a conduit par exemple des particuliers :
- à des emprunts immobiliers sur des dizaines d'année (sur 50 ans comme en Espagne).
- engager les gens sur des dizaines d'année d'emprunt en les faisant vivre bien au-dessus de leurs moyens de remboursement et cela malgré de multiples incertitudes pesant sur leurs avenirs.
Création de richesses artificielles de toute nature qui, par de subtiles montages techniques, les autorise même à vendre du vent par exemple, pour ne citer que le plus simple, en vendant "à découvert".
En imposant au monde entier leurs séduisants modèles de jouissances, les peuples se sont laissés abuser par des acquits faciles et commencent aujourd'hui à en payer les effets pervers catastrophiques.
Dominer le monde c'est pas seulement au travers une idéologie. C'est aussi en rendant dépendant chaque citoyen et les pays.
Il y a 50 ans, à l'âge de 20 ans chaque américain était endetté pour la vie. Or aujourd'hui, cette peste de l'endettement s'est aussi répandue dans le monde entier, en tablant stupidement sur une croissance infinie.
Les richesses se sont déplacées et les cupidités d'une poignée de financiers mènent les citoyens du monde sur des pistes de vie qui ne sont plus celles des valeurs humaines.

dimanche 20 novembre 2011

Le monde à l'envers ou : la charrue avant les boeufs

En ayant des relations non protégées certains jeunes s'exposent à la procréation "involontaire".
Pourtant, à notre époque ce risque ne peut être que conscient compte-tenu des informations que tout jeune reçoit en abondance.
Le problème c'est que les parents (soit disant involontaires)  font porter la charge de leur rejeton par la société en déniant toute responsabilité.
Malgré qu'il existe aujourd'hui de nombreux moyens de contraception à prix modique certains politiques ont le toupet de vouloir légaliser le remboursement de la pilule contraceptive.
Cela équivaut à déresponsabiliser toute une frange de jeunes tout en faisant supporter, une fois de plus, une nouvelle charge financière à la communauté.
De même, on lit et on entend à longueur de journée que les parents isolés sont davantage défavorisés. Mais personne n'a imposé cette situation à ces parents. Pour la plupart ils ont eu, comme tout le monde, des choix à faire dans le courant de leurs vies : rapports sexuels protégés ou non, vie commune ou non, etc.
Il faut arrêter de reporter sur la société les responsabilités que doit assumer tout individu.  
Avant de concevoir la vie, ne doit-on pas commencer par faire en sorte de le faire dans des conditions adéquates ? envisager une relation durable afin de donner un père et une mère à l'enfant (on n'est pas des animaux), avoir des ressources suffisantes et ne pas compter sur les diverses allocations, etc.
Il est irresponsable de baiser et de laisser le soin à la société de s'occuper de tout le reste :  financement et prise en charge de l'éducation, alimentation, habillement, etc.