samedi 13 février 2010

Le socialisme "à la suèdoise" est-il définitivement perdu ?

Depuis 1981 en France on tire la classe moyenne vers le bas.
Au lieu de hisser les plus pauvres vers la classe moyenne, on a abaissé le niveau de la classe moyenne vers celle des plus démunis.
Ce n’est pas pour cela que la classe des riches a été sollicitée pour augmenter les niveaux des 2 autres classes bien au contraire : les riches le sont de plus en plus et les fossés se creusent.
La solution ? une échelle des richesses moins étendue.
Cela vaut aussi et tout particulièrement au niveau des rémunérations du travail, l’échelle des salaires étant devenue beaucoup trop étendue, grotesque et injustifiée : toutes les tâches ont leur valeur et que ce soit du manœuvre au PDG, les différences entre les capacités ne sont pas telles qu’elles justifient de telles différences de salaires, il s’agit souvent au départ de situations liées aux hasards de la vie, de milieux, mais aussi souvent de choix de parcours ou de styles de vies.
Toute la chaîne des travailleurs est méritante et chacun est utile et nécessaire pour le fonctionnement de l’ensemble.
Il suffirait que les hommes acceptent de partager davantage pour rendre le monde plus juste mais aussi et surtout plus heureux et moins soucieux du lendemain.
Les riches ne sont pas forcément « Heureux » mais si les pauvres l’étaient plus, ça ne serait pas un morceau de bonheur prélevé sur les riches !

N’y a-t-il plus de « Tage Erlander » dans le monde ?

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